Circuit légèrement vallonné, avec une partie importante en sous-bois qui se termine au bord d'un étang très bucolique. Après en avoir fait le tour nous poursuivons la randonnée en longeant la rivière.
Le petit train touristique de Guîtres
Au départ de Guîtres, le train touristique est une véritable institution ! Vestige de la grande époque des chemins de fer, une poignée de passionnés se démène toute l’année pour faire redécouvrir les joies des transports ferroviaires à la mode d’antan !
Le petit train de Guîtres est la première attraction touristique du Libournais. Chaque année, il accueille entre 10 000 et 12 000 voyageurs pour une virée de 13,3 km exactement entre Guîtres et Marcenais. Une balade en pleine forêt du pays de Gabaye où, parfois, les passagers ont la chance d’apercevoir quelques chevreuils, en plus des vaches qui paissent. Le trajet dure une heure et demie entre l’aller et le retour avec, entre-temps, une pause d’une heure et quart, voire un peu plus selon les jours
Histoire
Le train touristique emprunte la section de Marcenais à Guîtres de l'ancienne ligne de Cavignac à Coutras construite par la Compagnie des Charentes qui l'a mise en service en 1874. Reprise vers 1878 par l'Administration des chemins de fer de l'État, elle est fermée au trafic voyageurs en 1938 et définitivement en 1965. Déclassée en 19762. L'association a obtenu le droit d'exploitation de la section de Guîtres à Marcenais en 1972. (net)
Un passage hasardeux ! Heureusement le système D fonctionne bien et le service des Ponts et Chaussées s'avère efficace !!!
Aperçu des installations d'une chasse en palombière
Le principe de cette chasse est immuable : il s'agit en manœuvrant des appeaux (ou appelants) d'attirer les vols de passage pour les faire se poser d'abord sur les arbres de la palombière, et ensuite de faire descendre au sol les oiseaux pour les capturer vivants au filet. Le but est donc d'imiter avec ces « appelants », qui sont des pigeons domestiques ou des palombes, des oiseaux en train de se poser, de se restaurer ou de se reposer dans le bois. On trouvera en général ces installations dans des bois à dominance de pins.
Ce type de palombière est habituellement rencontré dans les Landes, mais aussi en Gironde
Les chasseurs sont donc cachés dans une cabane d'où ils manœuvrent des mécaniques. Cette cabane est au sol, d'une taille plus ou moins importante et très bien camouflée. La taille de cette cabane et des installations associées est très variable et peut aller d'une dizaine d'appeaux avec ou sans sol, à une cinquantaine d'appeaux, plusieurs sols et quelques kilomètres de couloirs camouflés qui permettent aux chasseurs de se déplacer dans la forêt sans être vus.(net)
MARCENAIS - au Moulin de Charlot
Historique
Sous le nom de moulin de Peyrat, construit sur un affleurement rocheux, ses origines sont très anciennes. Guillaume Erra, Chevalier de Bourg le donna en 1232 aux Templiers de Marsenaix pour cinq cartables de blé.
Perdu au milieu de la forêt, il fait partie des 19 moulins installés sur la Saye, tous destinés à moudre de la farine.. Celui-ci faisait partie du Mayne de Charlot, un ancien château dont on a conservé quelques murettes d’entourage et des piliers de pierre.
En 1868, son propriétaire Monsieur Bertet voulant augmenter l’activité y adjoignit deux meules supplémentaires dont une servit à la production de l’huile de noix. Aujourd’hui cette meule marque l’arrivée à ce moulin et limite le chemin de Lapouyade aux carrières d’Aubie.Par la suite ce moulin permit de faire tourner une scierie.
Monsieur Cavignac vendit en 1937 les ponts du domaine de Charlot aux communes de Marcenais et Tizac pour supprimer le passage à gué.
Pendant une longue période il fut abandonné
Le XIXe siècle, avec l’apparition des machines à vapeur, marqua la fin de beaucoup de moulins à eau en France. Celui de Charlot est resté. et seul le tourisme peut permettre à ces édifices de vivre ou revivre. C’est le cas pour celui-ci, qui est devenu le terminus du petit train touristique reliant Guîtres à Marcenais. En 1975, grâce à la mise en service du train touristique de Guîtres, Monsieur et Madame Chatin ont aménagé ce vieux moulin en une crêperie familiale, un lieu de pêche et de calme.
. C’est donc la vapeur qui a fait revivre le moulin, en 1975
Le moulin était en piteux état. Une ruine dont ne subsistaient que le toit et quelques murs. Une restauration a été entreprise et le site a été ouvert au public. Une médaille de bronze du tourisme avait récompensé ces efforts en 1993. Depuis, la crêperie a fermé et les voyageurs, à la fin de leur balade, doivent se contenter d’admirer ce sympathique étang. Mais le plaisir, s’il n’est plus gustatif, n’en est pas moins un régal pour les yeux !(net)
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