Départ depuis la mairie d'Izon, passage par la zone artisanale de la Landotte , traversée de la D242 pour arriver sur
Le site d’Anglade : Sa superficie est d’environ 26 hectares de lac, bois, roselières, prairies, mares et marais
Après 20 années d’exploitation de la carrière, le site offre une richesse écologique exceptionnelle.
Le marais Glaugelas borde le site écologique d’Anglade
promenade dans le marais sur la digue du Glaugelas allant du pont d’Anglade au pont de la route de Cavernes
la vocation première de la digue du Glaugelas et des ouvrages hydrauliques étaient de se protéger des inondations de la Dordogne
Le port d’Izon est situé sur la rive gauche de la Dordogne.
Depuis de longues années, le port était à l'abandon. En mars 2007, des bénévoles amoureux du port ont souhaité le réhabiliter
De la même manière qu’il existe des traces de l’époque gallo-romaine sur la commune d’Izon, on trouve des traces d'activité batelière dès l'époque gallo-romaine sur les bords de la Dordogne. On peut donc supposer que le port existait déjà à cette époque.
Il n’existe que très peu d’informations concernant le port d’Izon, seulement quelques anecdotes tirées à partir d’informations sur le port du « Petit Chartron » de Lugon et l’Île du Carney, qui fait face au port d’Izon.
Nous savons que le port d’Izon comme les autres ports secondaires* situés sur la Dordogne furent de vrais ports de marchandises (bois, pierres, vin, sel, étoffes, huile, poissons, bestiaux) mais aussi de voyageurs.
Le port d’Izon et celui de Lugon et l’Île du Carney furent des ports de transit voyageurs. A partir de 1857 un bac faisait la navette entre les deux ports afin de faciliter l’accès à la station de chemin de fer de St Sulpice-Yzon des personnes habitant les communes voisines de Lugon et l’Île du Carney et notamment celles de Vérac, Périssac, Villegouge, Galgon et Guitres.
La construction du nouveau pont de Cubzac en 1883 sonnera la fin de l’activité du bac entre Izon et Lugon.
Vers 1900-1910 l’activité batelière finissait de s’éteindre avec le développement des routes et l’arrivée du rail.
retour par l'allée du château Grand Pré
Commenter cet article